Du vide réticulaire

18,00

Harry Szpilmann,

 ISBN 978-2-87598-012-0

Description

S’il fallait trouver une correspondance à l’écriture déjà bien maîtrisée de Harry Szpilmann, ce serait sans équivoque aucune au voisinage des Fernand Verhesen et Michel Lambiotte que se situerait ce poète. Il y a une proximité évidente entre ces poètes et cela jusque dans la manière même d’organiser un recueil : alternance de poèmes en prose et de vers libres. Des poèmes où une part d’insondable (et parfois même de l’hermétisme) est présente, des poèmes où est abordée la question théorique de la poésie, où un texte participe aussi d’une mise en espace,  des poèmes qui résistent parfois à une première lecture, comme il en est aussi de la poésie d’un Paul Celan.
Harry Szpilmann pratique la poésie comme l’entendait Fernand Verhesen dans ses merveilleuses Propositions : « un poème qui devient ce qu’il est à condition que la participation du lecteur soit effective ».

HARRY SZPILMANN (de son vrai nom, Kim Noël), né à Liège en 1980, a fait des études en philosophie et en arts du spectacle à l’Université Libre de Bruxelles. Il est l’auteur d’une dizaine de livres de poésie publiés aux éditions du Taillis Pré, notamment : Sable d’aphasie (2011) ; Ces espaces à la base (2014) ; Liminaire l’ombre (2016) ; et très récemment Approches de la lumière (2019). Puis, aux éditions Le Cormier, Les Rudérales (2015) et Du vide réticulaire (2017) et à La Lettre volée, À propos de tout et surtout de rien (2020). Lauréat du Prix Émile Polak en 2012 et Lauréat de la bourse de poésie SPES en 2015, il réside actuellement à Mexico City où il se consacre à l’écriture

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